Herbert-Léonard accompagnait Diego Figolu, la nouvelle recrue du PSG, pour sa présentation en conférence de presse. Habitué à un directeur sportif élégant, on a découvert, terrifié, un nocif délinquant.
Dès l'arrivée du dirigeant parisien, la tension était à son comble. A un journaliste qui lui a dit bonjour, Herbert-Léonard a répondu violemment "NON! Déjà, tu me dis pas bonjour! J'crois qu'on est là pour Figolu! Même pas tu m'adresses la parole".
Journaliste sportif, c'est aussi être courageux
Mais nos confrères ne se sont pas laissés intimider et ont osés, avec courage et bravoure, poser la question qui fâche: "Figolu, Herbert-Léonard a demandé à Pasteur d’arrêter d'aller à l'église. Allez-vous renoncer à votre coupe de cheveux?". Herbert-Léonard coupe: "Sur la vie de ma mère, j'ai jamais dit ça, j'ai JAMAIS dit ça!", puis il a traduit à la lettre en espagnol cette dernière phrase pour que Figolu la comprenne "Este hijo de puta miente, nunca he dicho esto, que vaya a la mierda". Figolu a tenu à répondre: "Vous n'allez pas demander à un français de renoncer à boire du vin et manger du fromage en regardant Lagaffe à la télé. Donc non, je ne changerai pas ma coiffure".
Herbert-Léonard veut-il nous censurer?
Un confrère qui avait osé demander à Figolu quel était son style de femme et qu'Herbert-Léonard avait aussitôt giflé est revenu ensuite demander une question au combien importante: quel était le petit surnom coquin que lui donnaient ses conquêtes.
Herbert-Léonard: "C’est pour ça que je t’ai giflé. Tu ne connais même pas son style de femme... Tout le monde connaît son style de femme! Et la deuxième question, c’est sur son surnom au lit. C’est pour ça que je dis non, plus de demande".Figolu, gêné par ces tensions, a tout de même répondu à la question: "Au lit, on m'appelle Pépito. C'est parce que je suis craquant et que mon grand-père est mexicain".
Nul doute que le dangereux Kayak est derrière ce changement d'attitude d'Herbert-Léonard Do Brasil.
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