Le PSG n'a plus le choix! Ce soir à Nancy, il faudra se mettre à jouer en équipe et gagner ce match au combien important dans la course au titre!
Allez PARIS!
sous titre de presentation
Ici c'est Paris et ça rigoal pas!! Blog satirique pro-parigo, infos sur le foot francilien (PSG, PFC, USCL, Red Star...)
samedi 31 mars 2012
Les matchs de National en direct !
Le Paris FC et le Red Star jouent en ce moment même!!
Allez les franciliens!!
Epinal 2 - 1 Paris F.C.
Buts: Demangeon et Focki pour Epinal, Yenga pour le PFC
Quevilly 1 - 1 Red Star 93
Buts: Capelle pour Quevilly et Allegro pour le Red Star
Allez les franciliens!!
Epinal 2 - 1 Paris F.C.
Buts: Demangeon et Focki pour Epinal, Yenga pour le PFC
Quevilly 1 - 1 Red Star 93
Buts: Capelle pour Quevilly et Allegro pour le Red Star
Créteil 0 - 2 Besançon, les réactions
La réaction de Jean-Luc Vasseur :
" C’est une grosse désillusion… C’est notre plus mauvais match de la saison, et pourtant même en jouant avec le frein à main, on s’est procuré une multitude d’occasions. Mais on a clairement laissé passer notre chance. Il y a eu ce penalty raté, cette fébrilité défensive qui nous a coûté deux erreurs, on n’y était pas… Je ne vais pas charger les joueurs, ils sont déjà assez mal comme ça ce soir. Après une défaite comme celle-là, on peut se poser des milliers de questions, mais ce n’est pas pour ça qu’il faut tout remettre en cause. " [A propos des ambitions pour la fin de saison] " Un point de pris sur neuf ce n’est pas le rythme de croisière qu’on avait il y a peu, mais notre premier objectif c’est de nous maintenir ".
" C’est une grosse désillusion… C’est notre plus mauvais match de la saison, et pourtant même en jouant avec le frein à main, on s’est procuré une multitude d’occasions. Mais on a clairement laissé passer notre chance. Il y a eu ce penalty raté, cette fébrilité défensive qui nous a coûté deux erreurs, on n’y était pas… Je ne vais pas charger les joueurs, ils sont déjà assez mal comme ça ce soir. Après une défaite comme celle-là, on peut se poser des milliers de questions, mais ce n’est pas pour ça qu’il faut tout remettre en cause. " [A propos des ambitions pour la fin de saison] " Un point de pris sur neuf ce n’est pas le rythme de croisière qu’on avait il y a peu, mais notre premier objectif c’est de nous maintenir ".
La réaction d’Hervé Genet (Besançon):
" C’était un match entre deux équipes qui avaient envie de jouer. Créteil aurait dû mener à la pause mais notre gardien a fait un grand match. Après l’expulsion, on a profité du surnombre pour l’emporter. Secrètement, et en toute modestie, on était venu ici pour gagner parce qu’on sait qu’il ne faudra que des victoires pour arriver à s’en sortir. Mais il reste encore un paquet de matches et beaucoup de boulot à accomplir pour s’en sortir. Il faut rester humble."
" C’était un match entre deux équipes qui avaient envie de jouer. Créteil aurait dû mener à la pause mais notre gardien a fait un grand match. Après l’expulsion, on a profité du surnombre pour l’emporter. Secrètement, et en toute modestie, on était venu ici pour gagner parce qu’on sait qu’il ne faudra que des victoires pour arriver à s’en sortir. Mais il reste encore un paquet de matches et beaucoup de boulot à accomplir pour s’en sortir. Il faut rester humble."
La réaction de Jean-Luc Vasseur est clair: L'USCL vise la maintien. Rien de plus. A 9 points du 3ème (Epinal) et avec des résultats comme lors des 3 derniers matchs, les béliers ne peuvent clairement rien viser d'autre. Il faudra grappiller encore une dizaine de points pour être vraiment tranquille.
Réactions recueillis sur uscl.fr
Créteil 0 - 2 Besançon, récit d'un scénario catastrophe
Au terme d’une partie menée tambour battant par les deux équipes, l’USCL a vu son invincibilité de cinq mois à domicile s’écrouler face à un BRC à qui plus rien ne résiste. La soirée des Béliers a même viré au cauchemar car au-delà du gardien bisontin impérial, un penalty manqué de Noui Laïfa, l’expulsion de Gregory Tomas et la sortie manquée de Yann Kerboriou sont venus plomber le scénario du match.
Entre une équipe de Besançon se battant pour décrocher son maintien et des Béliers décidés à jouer la montée la partie promettait d’être animée et elle l’a été ! Les quarante-cinq premières minutes de jeu ont d’ailleurs été les plus prolifiques en termes d’occasions de but, les deux formations se rendant coup pour coup d’un bout à l’autre du terrain. Au retourné d’Otman Djellilahine (4e) et au face-à-face perdu de Bagaliy Dabo (9e) ont répondu le coup-franc de Charly Vuillemot (12e) et la percée de Mustapha Louhkiar sauvée in-extremis par Grégory Tomas (16e).
Et lorsque les Cristoliens ont semblé prendre l’ascendant sur le BRC, un homme : Willy Maeyens s’est à chaque fois dressé sur leur route. Arrêtant le tir d’Otman Djellilahine (23e), la reprise de Marcel Essombé (24e), détournant en corner le coup-franc de Noui Laïfa (25e) avant d’en accompagner un autre du même joueur sur le poteau (35e), le portier a véritablement écœuré les joueurs de Jean-Luc Vasseur. Un sentiment qui connaîtra son paroxysme en toute fin de première période lorsqu’il viendra s’interposer sur un tir de Grégory Tomas après un contre cristolien magistral (42e), puis sur un penalty de Noui Laïfa (45e) pour une main de Hamel Hakkar dans la surface.
Cet arrêt a certainement été l’un des tournants du match. Renvoyant les Cristoliens bredouille au vestiaire après une multitude d’occasions, il a regonflé à bloc les hommes d’Hervé Genet. Car s’ils avaient fait trembler les supporters val-de-marnais en décrochant une troisième occasion qui avait nécessité un nouveau retour décisif de Grégory Tomas lors de la première période (29e), les Franc-Comtois se sont montrés plus pressants en seconde période. Et pour cause !
Réduite à dix après l’expulsion de Grégory Tomas pour un tacle sur Youssouf Ahamadi (63e), l’USCL va flirter avec la rupture. De la même manière que Sébastien Gondouin était intervenu (49e), Yann Kerboriou devra sortir dans les pieds (68e) et sortir une parade (71e). Mais le portier francilien n’aura fait que retarder l’échéance car il devra finalement s’incliner sur un but Charly Vuillemot inscrit en contre (0-1, 73e). Véritable coup de bambou sur la tête des Béliers, ce but déstabilisera le gardien de l’USCL qui manquera sa sortie et offrira le but du 2-0 à Lakdar Boussaha (0-2, 79e).
L’USCL continuera tout de même à insister en fin de match, mais Willy Maeyens se couchera facilement sur un tir à ras-de-terre (88e) ou boxera le coup-franc de Maxime Partouche (90e), de la même manière qu’il avait bien géré un tir de Marcel Essombé peu après la reprise (52e).
Retombée dans les travers qu’elle avait connus lors de la phase aller, l’USCL doit une nouvelle fois s’avouer vaincue face au Besançon Racing Club. Cette défaite à Duvauchelle, la première depuis le 21 octobre dernier, diminue les espoirs de revenir sur le podium. Mais elle sera également lourde de conséquence puisqu’elle obligera Jean-Luc Vasseur à faire sans Grégory Tomas lors du prochain match au minimum, lui qui est titulaire sur le flanc gauche depuis son arrivée dans le Val-de-Marne.
Source: uscl.fr
Entre une équipe de Besançon se battant pour décrocher son maintien et des Béliers décidés à jouer la montée la partie promettait d’être animée et elle l’a été ! Les quarante-cinq premières minutes de jeu ont d’ailleurs été les plus prolifiques en termes d’occasions de but, les deux formations se rendant coup pour coup d’un bout à l’autre du terrain. Au retourné d’Otman Djellilahine (4e) et au face-à-face perdu de Bagaliy Dabo (9e) ont répondu le coup-franc de Charly Vuillemot (12e) et la percée de Mustapha Louhkiar sauvée in-extremis par Grégory Tomas (16e).
Et lorsque les Cristoliens ont semblé prendre l’ascendant sur le BRC, un homme : Willy Maeyens s’est à chaque fois dressé sur leur route. Arrêtant le tir d’Otman Djellilahine (23e), la reprise de Marcel Essombé (24e), détournant en corner le coup-franc de Noui Laïfa (25e) avant d’en accompagner un autre du même joueur sur le poteau (35e), le portier a véritablement écœuré les joueurs de Jean-Luc Vasseur. Un sentiment qui connaîtra son paroxysme en toute fin de première période lorsqu’il viendra s’interposer sur un tir de Grégory Tomas après un contre cristolien magistral (42e), puis sur un penalty de Noui Laïfa (45e) pour une main de Hamel Hakkar dans la surface.
Cet arrêt a certainement été l’un des tournants du match. Renvoyant les Cristoliens bredouille au vestiaire après une multitude d’occasions, il a regonflé à bloc les hommes d’Hervé Genet. Car s’ils avaient fait trembler les supporters val-de-marnais en décrochant une troisième occasion qui avait nécessité un nouveau retour décisif de Grégory Tomas lors de la première période (29e), les Franc-Comtois se sont montrés plus pressants en seconde période. Et pour cause !
Réduite à dix après l’expulsion de Grégory Tomas pour un tacle sur Youssouf Ahamadi (63e), l’USCL va flirter avec la rupture. De la même manière que Sébastien Gondouin était intervenu (49e), Yann Kerboriou devra sortir dans les pieds (68e) et sortir une parade (71e). Mais le portier francilien n’aura fait que retarder l’échéance car il devra finalement s’incliner sur un but Charly Vuillemot inscrit en contre (0-1, 73e). Véritable coup de bambou sur la tête des Béliers, ce but déstabilisera le gardien de l’USCL qui manquera sa sortie et offrira le but du 2-0 à Lakdar Boussaha (0-2, 79e).
L’USCL continuera tout de même à insister en fin de match, mais Willy Maeyens se couchera facilement sur un tir à ras-de-terre (88e) ou boxera le coup-franc de Maxime Partouche (90e), de la même manière qu’il avait bien géré un tir de Marcel Essombé peu après la reprise (52e).
Retombée dans les travers qu’elle avait connus lors de la phase aller, l’USCL doit une nouvelle fois s’avouer vaincue face au Besançon Racing Club. Cette défaite à Duvauchelle, la première depuis le 21 octobre dernier, diminue les espoirs de revenir sur le podium. Mais elle sera également lourde de conséquence puisqu’elle obligera Jean-Luc Vasseur à faire sans Grégory Tomas lors du prochain match au minimum, lui qui est titulaire sur le flanc gauche depuis son arrivée dans le Val-de-Marne.
Source: uscl.fr
vendredi 30 mars 2012
Créteil en direct!!
Pour rêver, pour croire en une fin de saison enivrante, pour aider le Red Star, ALLEZ CRÉTEIL!!
mercredi 28 mars 2012
Vidéo USCL 2 - 2 Luzenac
Il est encore dur se de prononcer sur la fin de saison des Lusitaniens qui n'arrivent pas à accrocher le wagon de la montée
C'est pourtant le club francilien le mieux placé pour nous faire rêver cette saison. Mais rien n'y fait. Créteil n'a pas su battre à domicile une équipe de Luzenac jouant la deuxième partie de tableau. Ce vendredi, l'USCL (9ème) affrontera Besançon (19ème) avec une double mission: Se rapprocher de la tête pour vivre une fin de saison haletante et filer un coup de main au Red Star en enfonçant un peu plus un concurrent pour le maintien.
NAT: J29-USCL/LUZENAC 2/2 2011/2012 par uscl94
C'est pourtant le club francilien le mieux placé pour nous faire rêver cette saison. Mais rien n'y fait. Créteil n'a pas su battre à domicile une équipe de Luzenac jouant la deuxième partie de tableau. Ce vendredi, l'USCL (9ème) affrontera Besançon (19ème) avec une double mission: Se rapprocher de la tête pour vivre une fin de saison haletante et filer un coup de main au Red Star en enfonçant un peu plus un concurrent pour le maintien.
NAT: J29-USCL/LUZENAC 2/2 2011/2012 par uscl94
Vidéo Red Star 1 - 2 Orléans
Rien ne va plus pour le Red Star qui a enchainé une troisième défaite d'affiliées.
L'opération maintien avait pourtant très bien commencé en janvier. Plus rien ne semblait arrêter les audoniens auteur d'une belle série. Le club qui était lanterne rouge avait réussi à s'extirper de la zone de la mort et s'était même rapproché du ventre mou. Mais ce championnat de National est très relevé cette saison. Personne ne veut descendre et le maintien se jouera peut-être à plus de 40 points. Le Red Star est maintenant 16ème et se déplacera ce samedi sur la pelouse de Quevilly (15ème) pour un véritable choc du bas de tableau. Un match nul est indispensable!
Red Star FC 93 1 - 2 US Orleans (24/03/12) par visiofoot
L'opération maintien avait pourtant très bien commencé en janvier. Plus rien ne semblait arrêter les audoniens auteur d'une belle série. Le club qui était lanterne rouge avait réussi à s'extirper de la zone de la mort et s'était même rapproché du ventre mou. Mais ce championnat de National est très relevé cette saison. Personne ne veut descendre et le maintien se jouera peut-être à plus de 40 points. Le Red Star est maintenant 16ème et se déplacera ce samedi sur la pelouse de Quevilly (15ème) pour un véritable choc du bas de tableau. Un match nul est indispensable!
Red Star FC 93 1 - 2 US Orleans (24/03/12) par visiofoot
mardi 27 mars 2012
PSG 1 - 1 Bordeaux
Alors là c'était vraiment nul...
Même Leonardo l'a dit: "J'crois qué ce soaaar c'est nul, maaaa on a jemais dit qu'on voulai etre champion". Bien résumé.
Un match emmerdant. Une première mi-temps soporifique. Une deuxième un peu mieux... avec un PSG qui ne réagit qu'une fois qu'il est mené au score. J'ai pas envie de me prendre la tête à faire un article sur un match aussi pauvre en générosité. Si le PSG était une association humanitaire, il serait Colony Capital Afrique.
Le joueur du match
Sirigu évidemment. Il sort encore un très bon match avec des arrêts réflexes sur sa ligne. Sans lui, on aurait pu perdre. Jallet et Hoarau (le buteur) ont été plutôt bons aussi. Le reste, c'était assez moyen. Pastore n'a pas su amener un grain de folie.
La question
Aujourd'hui le site RMC titrait "Pastore peut-il rebondir?". J'ai appelé mon frère. Il est ingénieur physicien en nana-technologie. J'ai jamais vraiment compris ce que c'était la nana-technologie. Il nous l'explique quand on lui demande. Mais en fait, on s'en fout un peu. Ce qui compte, c'est qu'il soit ingénieur.
Donc, chaque fois que j'ai une question technique, je m'adresse à lui. Logiquement il sait tout vu qu'il est ingénieur. Et c'est pareil pour toute la famille. Par exemple, quand la machine à laver tombait en panne, mon père lui demandait de l'aide. Il lui disait "Toi qui est ingénieur, répare la machine". Normal. Et s'il y avait une ampoule à changer... pareil. Du coup, il s'est vite barré de la maison. Pas con le frangin.
Donc je l'appelle et je lui pose la question. On sait jamais, s'il me donne la réponse, je peux peut-être gagner de l'argent en donnant la solution à RMC.
Il me répond un peu énervé "Bah c'est évident". (Pour lui oui...)
"Tout corps qui chute à une vitesse égale à l'importance de son coût de transfert sur une surface de réparation rebondira avec la même vitesse".
J'avais pas tout compris sur le coup, alors j'ai feint d'avoir compris et j'ai ajouté avec une voix sereine: "Ah ouai ok... Donc en d'autres termes plus techniques, Pastore va rebondir.".
Et là il m'a dit: "Bah...
Donc c'est oui!!".
Moi: "Cool!! Sinon, y'a le grille pain qui a fait sauter les plombs, tu n'as pas une idée de comment..."
Bref, rien à craindre. Pastore va se reprendre et on sera champion.
La photo du match
Le bilan
Paris se fait chiper la première place par l'équipe à Loulou Picollin (même nombre de point) à la différence de litre d’alcool dans le sang.
Il reste 9 journées.
La bonne nouvelle
Le PSG a officiellement obtenu son maintien et ce dès la 29ème journée, c'est assez rare pour le souligner.
Même Leonardo l'a dit: "J'crois qué ce soaaar c'est nul, maaaa on a jemais dit qu'on voulai etre champion". Bien résumé.
Un match emmerdant. Une première mi-temps soporifique. Une deuxième un peu mieux... avec un PSG qui ne réagit qu'une fois qu'il est mené au score. J'ai pas envie de me prendre la tête à faire un article sur un match aussi pauvre en générosité. Si le PSG était une association humanitaire, il serait Colony Capital Afrique.
Le joueur du match
Sirigu évidemment. Il sort encore un très bon match avec des arrêts réflexes sur sa ligne. Sans lui, on aurait pu perdre. Jallet et Hoarau (le buteur) ont été plutôt bons aussi. Le reste, c'était assez moyen. Pastore n'a pas su amener un grain de folie.
La question
Aujourd'hui le site RMC titrait "Pastore peut-il rebondir?". J'ai appelé mon frère. Il est ingénieur physicien en nana-technologie. J'ai jamais vraiment compris ce que c'était la nana-technologie. Il nous l'explique quand on lui demande. Mais en fait, on s'en fout un peu. Ce qui compte, c'est qu'il soit ingénieur.
Donc, chaque fois que j'ai une question technique, je m'adresse à lui. Logiquement il sait tout vu qu'il est ingénieur. Et c'est pareil pour toute la famille. Par exemple, quand la machine à laver tombait en panne, mon père lui demandait de l'aide. Il lui disait "Toi qui est ingénieur, répare la machine". Normal. Et s'il y avait une ampoule à changer... pareil. Du coup, il s'est vite barré de la maison. Pas con le frangin.
Donc je l'appelle et je lui pose la question. On sait jamais, s'il me donne la réponse, je peux peut-être gagner de l'argent en donnant la solution à RMC.
Il me répond un peu énervé "Bah c'est évident". (Pour lui oui...)
"Tout corps qui chute à une vitesse égale à l'importance de son coût de transfert sur une surface de réparation rebondira avec la même vitesse".
J'avais pas tout compris sur le coup, alors j'ai feint d'avoir compris et j'ai ajouté avec une voix sereine: "Ah ouai ok... Donc en d'autres termes plus techniques, Pastore va rebondir.".
Et là il m'a dit: "Bah...
Donc c'est oui!!".
Moi: "Cool!! Sinon, y'a le grille pain qui a fait sauter les plombs, tu n'as pas une idée de comment..."
Bref, rien à craindre. Pastore va se reprendre et on sera champion.
La photo du match
"Quelqu'un a enlevé ma chaise??" |
Le bilan
Paris se fait chiper la première place par l'équipe à Loulou Picollin (même nombre de point) à la différence de litre d’alcool dans le sang.
Il reste 9 journées.
La bonne nouvelle
Le PSG a officiellement obtenu son maintien et ce dès la 29ème journée, c'est assez rare pour le souligner.
dimanche 25 mars 2012
National 29ème journée
Les semaines se suivent et se ressemblent... encore un mauvais week-end pour les franciliens
La défaite du Red Star en plus de la victoire de Besançon compliquent un peu plus la fin de saison audonienne. Le PFC n'a lui plus rien à espérer de cette fin de saison. Pour Créteil, dur encore de se prononcer.
- Red Star 93 1 - 2 Orléans
- Créteil 2 - 2 Luzenac
- Besançon 2 - 1 Paris FC
La défaite du Red Star en plus de la victoire de Besançon compliquent un peu plus la fin de saison audonienne. Le PFC n'a lui plus rien à espérer de cette fin de saison. Pour Créteil, dur encore de se prononcer.
vendredi 23 mars 2012
Coupe de France: le PSG se fait sortir par l'OL
PGF était au Parc de Princes mercredi soir... résumé de l'intérieur du Parc!
L'avant match
L'arrivée déjà. Direction tribune Borelli (A). On nous fait faire un tour énooorme pour y accéder. L'entrée au Parc des Princes c'est un peu comme les voyages en avion. Tu passes plus de temps à te faire balader autour du Parc que de chez toi à la Porte de Saint-Cloud.
L'avant match c'est aussi les défaites de Marseille et de Montpellier contre des équipes de National (et ils faisaient quoi alors le PFC, l'USCL et le Red Star??? Merde!!), ce qui veut dire que le vainqueur du PSG/OL avait 70% de chance de gagner la Coupe de France. Manque de peau, c'est pas nous.
La compo
Douchez dans les cages, Lugano en central, Armand (capitaine) à gauche, Bisouvache à droite. Pas de Pastore. Bodmer à la place. Petite histoire: Le speaker donnait le prénom du joueur et nous on criait son nom. Jusqu'à là, plutôt normal. Manque de peau, il s'est troué pour Lugano (qui apparemment n'a pas de prénom). Il a fait "Lugano... hum..." et est passé direct au joueur suivant. Décidément il a pas de chance Jean-Pierre Lugano.
Là jme dis "c'est Lyon en face. Ancelotti, c'est la classe mais... est-ce qu'il sous-estime pas un peu les quenelles?". A 2-1 pour l'OL, la tribune Boulogne chantera même "Siriiguuuu Siriiguuuu Siriiguuuu!!!". C'est vrai que Douchez, je l'ai pas vu faire un seul arrêt du match (sauf peut-être l'arrêt de sa carrière au PSG).
La minute de silence
En hommage aux victimes de Toulouse et Montauban. J'ai entendu un "Marseille enculé!" et un autre répondre "Feeeerme ta gueule". Si j'avais su, j'aurais crié "PARIS GOAL FOOT!". Ensuite comme la moitié du stade pensait que la minute était déjà passé, on a eu le droit a des applaudissements pendant 30 secondes.
L'ambiance
étant en tribune A, j'avais le son de Boulogne et l'image d'Auteuil. Boulogne a fait plus de bruit. Plus de chants... et beaucoup de coups sur le rideau de fer qui me séparait du virage. Quelques fumis de craqués des deux côtés. Des pétards. Un petit feu de cheminée du côté d'Auteuil en fin de match.
Évidemment, tout le monde dira: avant c'était mieux. C'est vrai. Y'avait Mendy sur la pelouse.
J'ai même pu voir au loin le fameux "qui ne saute pas n'est pas lyonnais hè!". A part ça, elles ont pas fait grand chose les quenelles. Surtout en 2ème mi-temps... on les voyait pas, sauf à la fin bien sûr.
"L'arbitre enculé!"
Bah ouai... désolé mais il le méritait. Il sifflait jamais pour nous... toujours pour eux... bref quand on est au stade, on est pas censé être objectif et y'avait pas péno pour Lyon!
Le match
Péno pour le PSG un peu contre le cours du jeu. Je sais même pas ce qui s'est passé. Une main peut-être?? Sévère ou pas, aucune idée. On s'en tapait complètement du moment que y'a péno. But de Néné. Euphorie! "Aulas enculé!".
Puis la frustration. Douchez qui relance court. Trop court... du coup Alex (il me semble hein... c'est un résumé des tribunes...) qui n'a pas trop de solutions alors qui la file à Menez ou Armand... puis grosse panique vu le très bon pressing lyonnais. Et le drame. Interception, passes, tir et but lyonnais.
Le deuxième but lyonnais, c'est pareil. M'en rappel plus pour le coup. Une contre-attaque il me semble. Un mauvais marquage. Et toujours cette facilité. Un tir = un but. Les lyonnais ont une réussite de fou contre le PSG.
Juste avant la mi-temps, grosse occaze parisienne. Manque de peau, ça rentre pas.
La deuxième mi-temps sera bien meilleur que la première pour le PSG. Beaucoup d'intensité, de mouvements, d'actions chaudes. Un grand Lloris qui a fait de belles parades. N'est pas Douchez qui veut."Lloris enculé!". Évidemment.
Puis des tricheries à la lyonnaise. On tombe. On se tord au sol. On perd du temps... et tout ça avec la complicité de l'arbitre (enculé!!). Le temps passe... péno sifflé pour Lyon. Certains supporters partent déjà. Je reste. A 25€ la place, faut pas déconner.
Péno transformé évidemment. 1-3 score final.
Le fait du match
La présentation de l'hymne du PSG chanté par les joueurs. J'en dis pas plus, un article en sera carrément consacré :)
L'homme parisien du match
De la tribune où j'étais, je dirais Jallet. Pas mal de débordements. Une grosse activité. Une jolie reprise sorti par Lloris.
Le débat du match
J'ai vu Luyindula (qui s'échauffait) et Gomis en même temps sur la pelouse. Et c'est vraiment très dur de dire lequel des deux est le plus sexy. Luyindula a pour lui ses yeux très coquin. Gomis lui c'est plutôt les lèvres très généreuses. On y reviendra aussi.
Le tifo du match
Un des espoirs du match
(Si j'ai pas le droit de mettre ces photos et que vous cherchez mon identité pour m'envoyer une amende, voici mon adresse: Mathieu Valbuena - 26 rue de la commanderie - 75013). Merci.
Mon retour chez moi
Il faut gagner le championnat maintenant!! Y'a plus le choix!!
L'avant match
L'arrivée déjà. Direction tribune Borelli (A). On nous fait faire un tour énooorme pour y accéder. L'entrée au Parc des Princes c'est un peu comme les voyages en avion. Tu passes plus de temps à te faire balader autour du Parc que de chez toi à la Porte de Saint-Cloud.
L'avant match c'est aussi les défaites de Marseille et de Montpellier contre des équipes de National (et ils faisaient quoi alors le PFC, l'USCL et le Red Star??? Merde!!), ce qui veut dire que le vainqueur du PSG/OL avait 70% de chance de gagner la Coupe de France. Manque de peau, c'est pas nous.
La compo
Douchez dans les cages, Lugano en central, Armand (capitaine) à gauche, Bisouvache à droite. Pas de Pastore. Bodmer à la place. Petite histoire: Le speaker donnait le prénom du joueur et nous on criait son nom. Jusqu'à là, plutôt normal. Manque de peau, il s'est troué pour Lugano (qui apparemment n'a pas de prénom). Il a fait "Lugano... hum..." et est passé direct au joueur suivant. Décidément il a pas de chance Jean-Pierre Lugano.
Là jme dis "c'est Lyon en face. Ancelotti, c'est la classe mais... est-ce qu'il sous-estime pas un peu les quenelles?". A 2-1 pour l'OL, la tribune Boulogne chantera même "Siriiguuuu Siriiguuuu Siriiguuuu!!!". C'est vrai que Douchez, je l'ai pas vu faire un seul arrêt du match (sauf peut-être l'arrêt de sa carrière au PSG).
La minute de silence
En hommage aux victimes de Toulouse et Montauban. J'ai entendu un "Marseille enculé!" et un autre répondre "Feeeerme ta gueule". Si j'avais su, j'aurais crié "PARIS GOAL FOOT!". Ensuite comme la moitié du stade pensait que la minute était déjà passé, on a eu le droit a des applaudissements pendant 30 secondes.
L'ambiance
étant en tribune A, j'avais le son de Boulogne et l'image d'Auteuil. Boulogne a fait plus de bruit. Plus de chants... et beaucoup de coups sur le rideau de fer qui me séparait du virage. Quelques fumis de craqués des deux côtés. Des pétards. Un petit feu de cheminée du côté d'Auteuil en fin de match.
Évidemment, tout le monde dira: avant c'était mieux. C'est vrai. Y'avait Mendy sur la pelouse.
J'ai même pu voir au loin le fameux "qui ne saute pas n'est pas lyonnais hè!". A part ça, elles ont pas fait grand chose les quenelles. Surtout en 2ème mi-temps... on les voyait pas, sauf à la fin bien sûr.
"L'arbitre enculé!"
Bah ouai... désolé mais il le méritait. Il sifflait jamais pour nous... toujours pour eux... bref quand on est au stade, on est pas censé être objectif et y'avait pas péno pour Lyon!
Le match
Péno pour le PSG un peu contre le cours du jeu. Je sais même pas ce qui s'est passé. Une main peut-être?? Sévère ou pas, aucune idée. On s'en tapait complètement du moment que y'a péno. But de Néné. Euphorie! "Aulas enculé!".
Puis la frustration. Douchez qui relance court. Trop court... du coup Alex (il me semble hein... c'est un résumé des tribunes...) qui n'a pas trop de solutions alors qui la file à Menez ou Armand... puis grosse panique vu le très bon pressing lyonnais. Et le drame. Interception, passes, tir et but lyonnais.
Le deuxième but lyonnais, c'est pareil. M'en rappel plus pour le coup. Une contre-attaque il me semble. Un mauvais marquage. Et toujours cette facilité. Un tir = un but. Les lyonnais ont une réussite de fou contre le PSG.
Juste avant la mi-temps, grosse occaze parisienne. Manque de peau, ça rentre pas.
La deuxième mi-temps sera bien meilleur que la première pour le PSG. Beaucoup d'intensité, de mouvements, d'actions chaudes. Un grand Lloris qui a fait de belles parades. N'est pas Douchez qui veut."Lloris enculé!". Évidemment.
Puis des tricheries à la lyonnaise. On tombe. On se tord au sol. On perd du temps... et tout ça avec la complicité de l'arbitre (enculé!!). Le temps passe... péno sifflé pour Lyon. Certains supporters partent déjà. Je reste. A 25€ la place, faut pas déconner.
Péno transformé évidemment. 1-3 score final.
Le fait du match
La présentation de l'hymne du PSG chanté par les joueurs. J'en dis pas plus, un article en sera carrément consacré :)
L'homme parisien du match
De la tribune où j'étais, je dirais Jallet. Pas mal de débordements. Une grosse activité. Une jolie reprise sorti par Lloris.
Le débat du match
J'ai vu Luyindula (qui s'échauffait) et Gomis en même temps sur la pelouse. Et c'est vraiment très dur de dire lequel des deux est le plus sexy. Luyindula a pour lui ses yeux très coquin. Gomis lui c'est plutôt les lèvres très généreuses. On y reviendra aussi.
Le tifo du match
On voit bien le rideau de fer communiste |
Un des espoirs du match
Allez Néné!! Y'a encore que 2-1 !! |
(Si j'ai pas le droit de mettre ces photos et que vous cherchez mon identité pour m'envoyer une amende, voici mon adresse: Mathieu Valbuena - 26 rue de la commanderie - 75013). Merci.
Mon retour chez moi
Évidemment, en voyant ça, on en oublie même la défaite |
Il faut gagner le championnat maintenant!! Y'a plus le choix!!
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dimanche 18 mars 2012
Réactions de l'entraineur cristolien après la défaite
Voici la réaction d'après match de Vasseur, assez fâché contre l'arbitre
Jean-Luc Vasseur, entraineur de l'USCL: "Je suis déçu du résultat car à onze contre onze on aurait certainement gagné. On a fait une bonne entame et on a marqué un très joli but dans la maîtrise et dans la construction. L’arbitre aurait pu être plus pédagogue dans ses interventions avec les deux joueurs qu’il a expulsés. Le premier carton reçu par Danilson da Cruz est sévère, le second est mérité. L’égalisation est arrivée trop tôt mais on aurait encore pu croire en nos chances de victoire si l’arbitre avait sifflé un penalty flagrant sur Maxime Partouche. Nous sommes déçus, mais pas abattus. Il n’y a pas plus dangereux qu’une bête blessée."
Il est plus drôle d'habitude Vasseur... si ça continue comme ça, je finirais par écrire moi même ses réactions
Jean-Luc Vasseur, entraineur de l'USCL: "Je suis déçu du résultat car à onze contre onze on aurait certainement gagné. On a fait une bonne entame et on a marqué un très joli but dans la maîtrise et dans la construction. L’arbitre aurait pu être plus pédagogue dans ses interventions avec les deux joueurs qu’il a expulsés. Le premier carton reçu par Danilson da Cruz est sévère, le second est mérité. L’égalisation est arrivée trop tôt mais on aurait encore pu croire en nos chances de victoire si l’arbitre avait sifflé un penalty flagrant sur Maxime Partouche. Nous sommes déçus, mais pas abattus. Il n’y a pas plus dangereux qu’une bête blessée."
Il est plus drôle d'habitude Vasseur... si ça continue comme ça, je finirais par écrire moi même ses réactions
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Créteil
Caen 2 - 2 PSG, les parisiens restent leader
J'ai pas vu le match du tout... c'est pour ça que vous lirez pas meilleur résumé que le mien
Impossible de voir le match. Je recevais mes parents à diner. Les parents, ça dinent tôt. Enfin... ça devrait. Mais là, ils sont arrivés avec 1h de retard. Je leur avais préparé du poisson à la bordelaise. J'aime pas trop celui à la provençal. Déjà c'est le seul plat préparé de poisson qui est à base de sardines mélangés avec du vieux porc. Ensuite, la chapelure de rat mort, c'est pas très goulu. Y'en a qui aiment... mais bon, c'est pas le sujet de ce soir.
Surtout que les bordelais comme les marseillais ont perdu leur match. Montpellier aussi d'ailleurs. Et c'est bien là la frustration qu'on peut avoir après cette 28ème journée. Paris aurait pu faire le break: Prendre 4 points d'avance sur les montpeliérains. Ce ne sera que 2, et voilà pourquoi:
Une première mi-temps vraiment mauvaise. Carlo avait remis le 442 à l'ordre du jour avec Gameiro et Hoarau devant. Les absences de Maxwell, Sissoko, Néne, Bodmer et Chantome privaient l'entraineur italien d'avoir un banc de touche relevé. Avec ça, Ceara comme Tiéné ont été mauvais. Ils seront d'ailleurs remplacés tous les 2. Joueurs qui ratent leur entame, système de jeu sans automatisme... Luyindula sur le banc, ça donne une première mi-temps morte.
La deuxième mi-temps a permis à Pierre Alain Frau (PAF) de faire comme tous les anciens parisiens: marquer contre le PSG (1-0 53ème). Ancelotti passe alors en 4231 et Pastore marque dans la foulée. Gameiro aurait même pu mettre le PSG sur orbite, mais, manque de bol, il touche la barre. Décidément, il doit pas avoir envie d'aller à l'Euro. C'est sûr que les pays de l'Est, ça donne pas envie.
Les parisiens vont alors prendre un deuxième but qui va leur mettre un gros coup au moral. Que cela ne tienne! Luyindula dans tous les bons coup depuis son retour sur le banc avait donné de bons conseils à Jallet avant que celui-ci ne rentre sur la pelouse "Tire et marque un but". Ce sera fait dans le temps additionnel, comme toujours.
Paris arrache le nul en ratant son match et double son avance au classement sur Montpellier.
L'homme du match
Sirigu qui mérite un 7,5 pour ce match. Sans lui, c'était le défaite assuré (je dis ça, je l'ai lu sur OM Planète...).
A noter le très bon coaching du match du Mister.
La photo du match
Puisqu'on est dans le thème de la famille, c'est évidemment la joie du père de Pierre Alain Frau qui nous restera à l'esprit.
L'ancien parisien du match
PAF évidemment.
Voilà... ainsi se termine le foot francilien de la semaine... un peu tristement à l'image des 3 défaites des équipes du National et du nul du PSG... et puis même cette article est nul. Tout est raté ce soir. Sauf mon repas.
Impossible de voir le match. Je recevais mes parents à diner. Les parents, ça dinent tôt. Enfin... ça devrait. Mais là, ils sont arrivés avec 1h de retard. Je leur avais préparé du poisson à la bordelaise. J'aime pas trop celui à la provençal. Déjà c'est le seul plat préparé de poisson qui est à base de sardines mélangés avec du vieux porc. Ensuite, la chapelure de rat mort, c'est pas très goulu. Y'en a qui aiment... mais bon, c'est pas le sujet de ce soir.
Surtout que les bordelais comme les marseillais ont perdu leur match. Montpellier aussi d'ailleurs. Et c'est bien là la frustration qu'on peut avoir après cette 28ème journée. Paris aurait pu faire le break: Prendre 4 points d'avance sur les montpeliérains. Ce ne sera que 2, et voilà pourquoi:
Une première mi-temps vraiment mauvaise. Carlo avait remis le 442 à l'ordre du jour avec Gameiro et Hoarau devant. Les absences de Maxwell, Sissoko, Néne, Bodmer et Chantome privaient l'entraineur italien d'avoir un banc de touche relevé. Avec ça, Ceara comme Tiéné ont été mauvais. Ils seront d'ailleurs remplacés tous les 2. Joueurs qui ratent leur entame, système de jeu sans automatisme... Luyindula sur le banc, ça donne une première mi-temps morte.
La deuxième mi-temps a permis à Pierre Alain Frau (PAF) de faire comme tous les anciens parisiens: marquer contre le PSG (1-0 53ème). Ancelotti passe alors en 4231 et Pastore marque dans la foulée. Gameiro aurait même pu mettre le PSG sur orbite, mais, manque de bol, il touche la barre. Décidément, il doit pas avoir envie d'aller à l'Euro. C'est sûr que les pays de l'Est, ça donne pas envie.
Les parisiens vont alors prendre un deuxième but qui va leur mettre un gros coup au moral. Que cela ne tienne! Luyindula dans tous les bons coup depuis son retour sur le banc avait donné de bons conseils à Jallet avant que celui-ci ne rentre sur la pelouse "Tire et marque un but". Ce sera fait dans le temps additionnel, comme toujours.
Paris arrache le nul en ratant son match et double son avance au classement sur Montpellier.
L'homme du match
Sirigu qui mérite un 7,5 pour ce match. Sans lui, c'était le défaite assuré (je dis ça, je l'ai lu sur OM Planète...).
A noter le très bon coaching du match du Mister.
La photo du match
Puisqu'on est dans le thème de la famille, c'est évidemment la joie du père de Pierre Alain Frau qui nous restera à l'esprit.
"C'est un but de génie!! Bravo fiston" |
PAF évidemment.
"A côté de Pedretti, je suis un peu le Jean Dujardin du foot français" |
Voilà... ainsi se termine le foot francilien de la semaine... un peu tristement à l'image des 3 défaites des équipes du National et du nul du PSG... et puis même cette article est nul. Tout est raté ce soir. Sauf mon repas.
Le Red Star s'incline contre Bayonne
Très mauvaise journée cette 28e du National décidément... les 3 franciliens auront perdu!
Et cette défaite du Red Star aurait dû être évité. Bayonne se relance dans la course au maintien, et les audoniens se rapprochent à nouveau de la zone de relégation.
Bayonne s'impose 2-1 (but de Laurent Gagnier pour le Red Star) dont un péno généreux sifflé à la 80ème.
Le Red Star reste maintenant sur 2 défaites consécutives (une envie soudaine d'imiter l'OM?) et réalise là une très mauvaise opération. Une victoire en terre basque aurait (définitivement?) envoyé son adversaire en CFA. L'étoile rouge a "grillé un joker" comme le titre son site officiel. Mais c'est plus que ça. Beauvais et Quevilly qui comptent des matchs en retard, pourraient pousser les audoniens dans la zone rouge en cas de victoires.
Il faudra se battre dur pour arracher ce maintien qui était pourtant proche il y a tout juste deux semaines.
Go Go Red Star!!
Et cette défaite du Red Star aurait dû être évité. Bayonne se relance dans la course au maintien, et les audoniens se rapprochent à nouveau de la zone de relégation.
Bayonne s'impose 2-1 (but de Laurent Gagnier pour le Red Star) dont un péno généreux sifflé à la 80ème.
Le Red Star reste maintenant sur 2 défaites consécutives (une envie soudaine d'imiter l'OM?) et réalise là une très mauvaise opération. Une victoire en terre basque aurait (définitivement?) envoyé son adversaire en CFA. L'étoile rouge a "grillé un joker" comme le titre son site officiel. Mais c'est plus que ça. Beauvais et Quevilly qui comptent des matchs en retard, pourraient pousser les audoniens dans la zone rouge en cas de victoires.
Il faudra se battre dur pour arracher ce maintien qui était pourtant proche il y a tout juste deux semaines.
Go Go Red Star!!
vendredi 16 mars 2012
National: Journée de déprime
Il faisait beau aujourd'hui à Paris... mais les résultats francilien de la journée ont eux été très moches...
Demain, le Red Star ira à Bayonne pour disputer un match cruciale pour le maintien.
- Paris FC 1 - 3 Cherbourg
- Colmar 2 - 1 Créteil-Lusitanos
Demain, le Red Star ira à Bayonne pour disputer un match cruciale pour le maintien.
PGF s'améliore!
Comme promis, le blog continue sa mutation!
Vous pouvez d'or et déjà consultez les "fiches club" du PSG, du PFC, de l'USCL et du Red Star accessibles juste en dessous de la bannière du site.
Ces fiches comportent des informations générales sur ces clubs et leur palmarès.
Et c'est pas fini! Les améliorations du blog continueront tout au long du mois de mars!
Je vous invite également, vous, mes 15 lecteurs, à me proposer des améliorations pour le blog.
"Ah?? Une mutation??" |
Vous pouvez d'or et déjà consultez les "fiches club" du PSG, du PFC, de l'USCL et du Red Star accessibles juste en dessous de la bannière du site.
Ces fiches comportent des informations générales sur ces clubs et leur palmarès.
Et c'est pas fini! Les améliorations du blog continueront tout au long du mois de mars!
Je vous invite également, vous, mes 15 lecteurs, à me proposer des améliorations pour le blog.
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jeudi 15 mars 2012
PGF souhaite bon anniversaire au Red Star... en retard!
Une fois n'est pas coutume (quoique...), moi même, Régor, je suis à la bourre pour souhaiter les bonaniversaires.
Je me rappelle d'un jour où mon meilleur ami me téléphone et me dit "Ouaai! Tu sais ce que c'est aujourd'hui??" et moi après avoir enchainer 3 conneries je lui réponds hilare "C'est la fête des grands père??!!". Lui:"Non. C'est mon anniversaire". Silence...
Bref, le 12 mars, le Red Star a fêté ses 115 ans! Respect à ce club mythique! Retour sur son histoire avec un article signé François-Xavier Valentin du site officiel audonien redstarfc93.fr.
A cent-quinze ans l’Etoile Rouge brille toujours sur les faubourgs de Paris. Depuis le 12 mars 1897, le club de Jules Rimet écrit son histoire entre gloires et espoirs de lendemains qui chantent. Du Panthéon du football français aux combats pour retrouver la lumière, retour en dix dates clés sur la vie mouvementée d’un club décidément pas comme les autres.
12 mars 1897 : La création
C’était un vendredi. Jules Rimet et son frère Modeste se décidaient à déposer officiellement les statuts du Red Star Club auprès de l’Union des Sociétés Françaises de Sports Athlétiques. Le début d’une grande aventure.
24 octobre 1909 : Bauer est né
Saint-Ouen c’est encore presque la campagne à cette époque. Le Red Star s’installe dans ce qui n’était qu’une plaine rue la Chapelle. Qui pensait alors que pendant plus d’un siècle l’Etoile Rouge occuperait les lieux ? C’est au Stade de Paris devenu Stade Bauer que l’Etoile Rouge écrira ses grandes pages, toujours soutenue par le peuple Vert et Blanc, véritable constante de l’histoire du Red.
28 janvier 1923 : Le Red Star, c’est la France !
La France se déplace au Stade Atocha de San Sebastian pour affronter l’Espagne. Fait marquant ce soir-là : sur les onze joueurs alignés au coup d’envoi, sept évoluent au Red Star. Presque deux tiers de la sélection est audonienne. Un chiffre qui n’empêche pas les Bleus de s’incliner (3-0) mais qui prouve la domination sans partage qu’exerce alors l’Etoile Rouge sur le football français. Avec sept joueurs, le Red Star détient toujours le record du plus grand nombre de sélectionnés alignés en même temps pendant quatre-dix minutes.
6 mai 1928 : Une quatrième Coupe
Dans un stade de Colombes bondé (plus de 30 000 spectateurs), le Red Star et Paul Nicolas, sa figure emblématique, soulèvent leur quatrième Coupe de France après celles de 1921, 1922 et 1923. Face au CA Paris, les Audoniens ne tremblent pas et l’emportent grâce à Wartel (8e) Lund (31e) et Brouzes (61e) (3-1). La vitrine de Bauer comptera un cinquième trophée en 1942.
21 février 1944 : Ciao Rino …
L’Italien Rino Della Negra, ailier droit du Red Star des années 40. Un enfant d’Argenteuil, une figure de la Résistance, un joueur prometteur. Contre l’oppression nazie, il s’engage avec le célèbre groupe Manouchian dans la clandestinité. Son visage est placardé sur les murs de France à travers la tristement célèbre affiche rouge, celle de la propagande allemande le présentant lui et sa vingtaine de camarades comme des terroristes. Arrêtés en 1943, ces "Vingt et trois qui criaient la France en s'abattant" (Aragon) sont fusillés le 21 février 1944. Dans une lettre posthume, le jeune Rino (20 ans) demande à son frère de transmettre "le bonjour et l'adieu à tout le Red Star". Le Red Star aussi le salue bien en lui dédiant une plaque commémorative devant le stade Bauer.
26 mai 1946 : La dernière finale
Le Stade de Colombes est une nouvelle fois archi-comble. Cette fois c’est 60 000 spectateurs qui s’y sont massés. Insuffisant cependant pour porter le Red vers un sixième trophée. Battus 4-2 par Lille, les Vert et Blanc laissent passer leur chance. Ils attendent depuis l’opportunité de la saisir à nouveau.
26 mai 1965 : De retour en première division
L’année 1965 est celle de la lumière pour le Red Star. A tous les sens du terme. La Mairie installe les quatre pylônes électriques qui vont permettre aux Vert et Blanc de se produire en nocturne tandis que sur ce terrain nouvellement éclairé l’équipe enchaîne les bonnes performances. L’Etoile Rouge brille contre Reims (1-0) devant plus de 20 000 spectateurs et retrouve l’élite après une victoire contre Aix-en-Provence grâce à un but de Taillepierre le 26 mai. Julien Manzano, l’enfant du Red Star et capitaine de cette équipe avoue que "c’est un rêve qui se réalise".
8 mai 1993 : A un souffle de la montée
La saison du Red Star est exceptionnelle. Emmené par un trio d’attaque de feu (Marlet-Thimothée-Michel), les hommes de Pierre Reppelini manquent la montée pour trois petits points. C’est lors de l’avant-dernière journée que le Red loupe le coche. Face à Rennes, un concurrent direct pour l’accession en D1, les Audoniens s’inclinent (0-2) sur deux réalisations de Denis (55e) et Fahr (90e). Bauer et ses 5000 spectateurs sont abattus. Quatrièmes du classement, les Vert et Blanc ne reverront pas l’élite.
3 avril 2000 : L’épopée de la Coupe de la Ligue
6000 spectateurs ont pris place au stade Marville de la Courneuve pour soutenir le Red. Toute l’Ile-de-France rêve d’une finale en forme de derby entre le Red et la Paris Saint-Germain de Bernard Lama et Jay-Jay Okocha. Mais avant d’accéder au Stade de France, il faut franchir l’obstacle Gueugnonnais (D2). Les Audoniens, poussés par leur public, vont mener deux fois au score, d’abord grâce à Richard Akiana (30e) puis sur une tête de Karim Fellahi (84e). Mais, à chaque fois, ils vont être repris. La seconde égalisation est particulièrement cruelle : elle survient deux minutes avant la fin du temps réglementaire (88e). La prolongation est insoutenable, les Rouges ne concrétisent pas, et la loterie des tirs au but va décider de l’issue du match. La séance est terrible, après le passage de tous les joueurs de champ, les équipes ne sont toujours pas départagées (8-8). C’est au tour des gardiens : Trivino stoppe le tir de Branger et réussit le sien. C’est fini. Le Red est éliminé et la déception est grande, mais l’exploit restera: jamais, dans l’histoire de la coupe de la ligue, un club de National n’avait atteint ce stade de la compétition !
7 janvier 2012 : Un symbole et le renouveau ?
Après avoir envoyé sa jeunesse battre le champion de Polynésie sur ses terres, après avoir arraché la qualification à l’ultime seconde à Forbach, le Red Star gagne le droit d’affronter Marseille en trente-deuxième de finale de la Coupe. La rencontre, délocalisée au Stade de France, tourne à l’avantage des Olympiens (0-5) mais l’essentiel est ailleurs. En réunissant 50 000 personnes à Saint-Denis, un chiffre atteint pour la première fois à ce stade de la compétition dans l’histoire de la Coupe de France, le Red Star a relevé le premier défi que lui lançait 2012, s’il remporte celui, plus difficile encrore, du maintien, il pourra regarder l’avenir avec sérénité.
On souhaite tout le meilleur au Red Star en commençant par un maintien en National cette année et pourquoi pas un retour en L1 dans quelques années!
Je me rappelle d'un jour où mon meilleur ami me téléphone et me dit "Ouaai! Tu sais ce que c'est aujourd'hui??" et moi après avoir enchainer 3 conneries je lui réponds hilare "C'est la fête des grands père??!!". Lui:"Non. C'est mon anniversaire". Silence...
S. Marlet:"Oh meeeerde!! On a zappé le bonaniversaire!!" |
Bref, le 12 mars, le Red Star a fêté ses 115 ans! Respect à ce club mythique! Retour sur son histoire avec un article signé François-Xavier Valentin du site officiel audonien redstarfc93.fr.
A cent-quinze ans l’Etoile Rouge brille toujours sur les faubourgs de Paris. Depuis le 12 mars 1897, le club de Jules Rimet écrit son histoire entre gloires et espoirs de lendemains qui chantent. Du Panthéon du football français aux combats pour retrouver la lumière, retour en dix dates clés sur la vie mouvementée d’un club décidément pas comme les autres.
12 mars 1897 : La création
C’était un vendredi. Jules Rimet et son frère Modeste se décidaient à déposer officiellement les statuts du Red Star Club auprès de l’Union des Sociétés Françaises de Sports Athlétiques. Le début d’une grande aventure.
24 octobre 1909 : Bauer est né
Saint-Ouen c’est encore presque la campagne à cette époque. Le Red Star s’installe dans ce qui n’était qu’une plaine rue la Chapelle. Qui pensait alors que pendant plus d’un siècle l’Etoile Rouge occuperait les lieux ? C’est au Stade de Paris devenu Stade Bauer que l’Etoile Rouge écrira ses grandes pages, toujours soutenue par le peuple Vert et Blanc, véritable constante de l’histoire du Red.
28 janvier 1923 : Le Red Star, c’est la France !
La France se déplace au Stade Atocha de San Sebastian pour affronter l’Espagne. Fait marquant ce soir-là : sur les onze joueurs alignés au coup d’envoi, sept évoluent au Red Star. Presque deux tiers de la sélection est audonienne. Un chiffre qui n’empêche pas les Bleus de s’incliner (3-0) mais qui prouve la domination sans partage qu’exerce alors l’Etoile Rouge sur le football français. Avec sept joueurs, le Red Star détient toujours le record du plus grand nombre de sélectionnés alignés en même temps pendant quatre-dix minutes.
6 mai 1928 : Une quatrième Coupe
Dans un stade de Colombes bondé (plus de 30 000 spectateurs), le Red Star et Paul Nicolas, sa figure emblématique, soulèvent leur quatrième Coupe de France après celles de 1921, 1922 et 1923. Face au CA Paris, les Audoniens ne tremblent pas et l’emportent grâce à Wartel (8e) Lund (31e) et Brouzes (61e) (3-1). La vitrine de Bauer comptera un cinquième trophée en 1942.
21 février 1944 : Ciao Rino …
L’Italien Rino Della Negra, ailier droit du Red Star des années 40. Un enfant d’Argenteuil, une figure de la Résistance, un joueur prometteur. Contre l’oppression nazie, il s’engage avec le célèbre groupe Manouchian dans la clandestinité. Son visage est placardé sur les murs de France à travers la tristement célèbre affiche rouge, celle de la propagande allemande le présentant lui et sa vingtaine de camarades comme des terroristes. Arrêtés en 1943, ces "Vingt et trois qui criaient la France en s'abattant" (Aragon) sont fusillés le 21 février 1944. Dans une lettre posthume, le jeune Rino (20 ans) demande à son frère de transmettre "le bonjour et l'adieu à tout le Red Star". Le Red Star aussi le salue bien en lui dédiant une plaque commémorative devant le stade Bauer.
26 mai 1946 : La dernière finale
Le Stade de Colombes est une nouvelle fois archi-comble. Cette fois c’est 60 000 spectateurs qui s’y sont massés. Insuffisant cependant pour porter le Red vers un sixième trophée. Battus 4-2 par Lille, les Vert et Blanc laissent passer leur chance. Ils attendent depuis l’opportunité de la saisir à nouveau.
26 mai 1965 : De retour en première division
L’année 1965 est celle de la lumière pour le Red Star. A tous les sens du terme. La Mairie installe les quatre pylônes électriques qui vont permettre aux Vert et Blanc de se produire en nocturne tandis que sur ce terrain nouvellement éclairé l’équipe enchaîne les bonnes performances. L’Etoile Rouge brille contre Reims (1-0) devant plus de 20 000 spectateurs et retrouve l’élite après une victoire contre Aix-en-Provence grâce à un but de Taillepierre le 26 mai. Julien Manzano, l’enfant du Red Star et capitaine de cette équipe avoue que "c’est un rêve qui se réalise".
8 mai 1993 : A un souffle de la montée
La saison du Red Star est exceptionnelle. Emmené par un trio d’attaque de feu (Marlet-Thimothée-Michel), les hommes de Pierre Reppelini manquent la montée pour trois petits points. C’est lors de l’avant-dernière journée que le Red loupe le coche. Face à Rennes, un concurrent direct pour l’accession en D1, les Audoniens s’inclinent (0-2) sur deux réalisations de Denis (55e) et Fahr (90e). Bauer et ses 5000 spectateurs sont abattus. Quatrièmes du classement, les Vert et Blanc ne reverront pas l’élite.
3 avril 2000 : L’épopée de la Coupe de la Ligue
6000 spectateurs ont pris place au stade Marville de la Courneuve pour soutenir le Red. Toute l’Ile-de-France rêve d’une finale en forme de derby entre le Red et la Paris Saint-Germain de Bernard Lama et Jay-Jay Okocha. Mais avant d’accéder au Stade de France, il faut franchir l’obstacle Gueugnonnais (D2). Les Audoniens, poussés par leur public, vont mener deux fois au score, d’abord grâce à Richard Akiana (30e) puis sur une tête de Karim Fellahi (84e). Mais, à chaque fois, ils vont être repris. La seconde égalisation est particulièrement cruelle : elle survient deux minutes avant la fin du temps réglementaire (88e). La prolongation est insoutenable, les Rouges ne concrétisent pas, et la loterie des tirs au but va décider de l’issue du match. La séance est terrible, après le passage de tous les joueurs de champ, les équipes ne sont toujours pas départagées (8-8). C’est au tour des gardiens : Trivino stoppe le tir de Branger et réussit le sien. C’est fini. Le Red est éliminé et la déception est grande, mais l’exploit restera: jamais, dans l’histoire de la coupe de la ligue, un club de National n’avait atteint ce stade de la compétition !
7 janvier 2012 : Un symbole et le renouveau ?
Après avoir envoyé sa jeunesse battre le champion de Polynésie sur ses terres, après avoir arraché la qualification à l’ultime seconde à Forbach, le Red Star gagne le droit d’affronter Marseille en trente-deuxième de finale de la Coupe. La rencontre, délocalisée au Stade de France, tourne à l’avantage des Olympiens (0-5) mais l’essentiel est ailleurs. En réunissant 50 000 personnes à Saint-Denis, un chiffre atteint pour la première fois à ce stade de la compétition dans l’histoire de la Coupe de France, le Red Star a relevé le premier défi que lui lançait 2012, s’il remporte celui, plus difficile encrore, du maintien, il pourra regarder l’avenir avec sérénité.
On souhaite tout le meilleur au Red Star en commençant par un maintien en National cette année et pourquoi pas un retour en L1 dans quelques années!
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lundi 12 mars 2012
Le PSG arrache la victoire à Dijon 2 à 1
C'est dans les dernières secondes du match que Gameiro a arraché les 3 points
Comme à Lyon, Paris a su montrer du caractère et marquer dans le temps additionnel.Siaka Tiéné avait ouvert le score alors que les parisiens évoluaient à 10 contre 11.
La réaction de Kévin Gameiro au micro de Canal +: "Ménez me met une belle passe. Je n’étais pas serein sur la passe. Il faut compter sur tout le monde même sur les remplaçants. On a gagné grâce au mental. On sait ce qu’on veut. On s’arrache match après match pour chercher la victoire."
Le joueur du match
S'il n'avait pas reçu de rouge, on aurait pu nommer Sissoko, auteur d'un travail énormissime au milieu. L'autre homme fort et donc élu homme du match parisien c'est Hoarau. Passeur décisif sur le but de Tiéné, le réunionnais enchaine les bonnes prestations.
A noter le très bon match d'Alex qui s'impose derrière et de Matuidi toujours aussi précieux au milieu.
L'image
Tiéné bien sûr qui a toujours ses ennuis gastriques malgré les récentes aides de Rozahnal et de Planus
La réaction de Peguy Louloubellenana
"Mon retour sur le banc, c'est le plus beau moment de ma vie derrière la naissance de mes deux enfants bretons Bahbeck et Kenavo. En tribune, je voyais que dalle. Ils m'avaient mis en tribune Tous PSG pour mettre l'ambiance. Là je suis aux premières loges. D'ailleurs c'est moi qui a dit à Gameiro de marquer. Lui, il pensait plutôt tirer au dessus ou rater son contrôle"
Le classement
Montpellier ayant aussi gagné, le PSG a tout de même fait un peu plus le trou avec Lille, 3ème à 11 points. L'ami marseillais est maintenant relégué à 19 points. On se dirige donc vers un face à face avec la Paillade pour le titre de champion. Les calendriers des deux équipes sont assez semblables. Rien ne sera simple pour les parisiens.
Comme à Lyon, Paris a su montrer du caractère et marquer dans le temps additionnel.Siaka Tiéné avait ouvert le score alors que les parisiens évoluaient à 10 contre 11.
La réaction de Kévin Gameiro au micro de Canal +: "Ménez me met une belle passe. Je n’étais pas serein sur la passe. Il faut compter sur tout le monde même sur les remplaçants. On a gagné grâce au mental. On sait ce qu’on veut. On s’arrache match après match pour chercher la victoire."
Le joueur du match
S'il n'avait pas reçu de rouge, on aurait pu nommer Sissoko, auteur d'un travail énormissime au milieu. L'autre homme fort et donc élu homme du match parisien c'est Hoarau. Passeur décisif sur le but de Tiéné, le réunionnais enchaine les bonnes prestations.
A noter le très bon match d'Alex qui s'impose derrière et de Matuidi toujours aussi précieux au milieu.
L'image
Tiéné bien sûr qui a toujours ses ennuis gastriques malgré les récentes aides de Rozahnal et de Planus
"Aaaa... Ouuuhh! Mmmhhh!! J'aurais dû manger un fruit!! Meeerde!!" |
La réaction de Peguy Louloubellenana
"Mon retour sur le banc, c'est le plus beau moment de ma vie derrière la naissance de mes deux enfants bretons Bahbeck et Kenavo. En tribune, je voyais que dalle. Ils m'avaient mis en tribune Tous PSG pour mettre l'ambiance. Là je suis aux premières loges. D'ailleurs c'est moi qui a dit à Gameiro de marquer. Lui, il pensait plutôt tirer au dessus ou rater son contrôle"
Le classement
Montpellier ayant aussi gagné, le PSG a tout de même fait un peu plus le trou avec Lille, 3ème à 11 points. L'ami marseillais est maintenant relégué à 19 points. On se dirige donc vers un face à face avec la Paillade pour le titre de champion. Les calendriers des deux équipes sont assez semblables. Rien ne sera simple pour les parisiens.
Le Red Star s'incline face au leader
Pas de miracle... les audoniens ont perdu face à Niort
Le résumé en vidéo
Red Star FC 93 1 - 2 Chamois Niortais FC... par visiofoot
Pas de panique pour autant pour les franciliens qui pourront encore engranger des points pour se maintenir.
Le résumé en vidéo
Red Star FC 93 1 - 2 Chamois Niortais FC... par visiofoot
Pas de panique pour autant pour les franciliens qui pourront encore engranger des points pour se maintenir.
samedi 10 mars 2012
Retour sur la victoire du Paris FC
En déplacement à Martigues, le groupe d'Alain Mboma s'impose 1 à 0 grâce à un exploit d'Ibrahima Faye
La défaite à domicile contre Nîmes le week-end dernier maintenant oubliée, le Paris FC se devait d'aller gagner sur la pelouse de Martigues, afin de confirmer son très bon parcours depuis le début de la phase retour. C'est chose faite, le club de la capitale revient avec les 3 points et peut remercier Ibrahima Faye, auteur du seul but de la rencontre à la 42ème minute. Mais quel but ! En effet, peu avant la pause, le capitaine parisien se présente seul pour tirer un coup franc situé à 30 mètres des cages martégales, l'ancien troyen décoche alors une frappe imparable qui vient transpercer Vanni. Hormis cet exploit individuel, le reste du match est quant à lui, beaucoup moins reluisant et ne restera sans doute pas dans les annales.
Les débats tardent à s'animer. Martigues monopolise clairement le cuir mais le Paris FC, bien positionné, ne tremble pas. Peu à peu, l'équipe provençale tente d'accélérer le rythme mais rien y fait. Ce sont même les parisiens, par l'intermédiaire de Scotté à la 35ème minute, qui se créent la première véritable occasion de la partie.
Les contacts deviennent plus âpres entre les deux formations mais dans l'animation offensive cela reste toujours le calme plat. Comme souvent, les phases arrêtées permettent à ce genre de rencontre fermée de se décanter. Suite à une faute de Posteraro, à 30 mètres plein axe, Faye prend ses responsabilités et envoie un missile du gauche. Vanni a du mal à lire la trajectoire et ne peut que constater les dégâts (0-1, 42e).
Piqués au vif, les Sang et Or reviennent avec des meilleures intentions après la pause. Ils campent dans le camp parisien. Ech-Chergui trouve Descamps au second poteau. Sa remise de la tête ne trouve pas preneur (50e). Le Paris FC continue son travail de sape, préférant évoluer en contre. Scotté file au but mais bute sur le gardien (52e). Dans le jeu, le FCM n'est pas assez entreprenant, trop timoré, et cela fait le jeu des Parisiens qui ont décidé de fermer le verrou. Les changements offensifs décidés par le coach de Martigues n'y changeront rien.
L'équipe parisienne est même très proche de doubler la mise. Gendrey, esseulé entre le point de penalty et les six-mètres, trouve le poteau droit de Vanni (75e). Les Martégaux jettent alors leurs dernière forces dans la bataille mais en vain.
Le Paris FC remporte sa deuxième victoire de la saison à l'extérieur. Avec 38 points au compteur, le groupe d'Alain Mboma a presque assuré son maintien en National la saison prochaine.
Source: parisfootballclub.com
La défaite à domicile contre Nîmes le week-end dernier maintenant oubliée, le Paris FC se devait d'aller gagner sur la pelouse de Martigues, afin de confirmer son très bon parcours depuis le début de la phase retour. C'est chose faite, le club de la capitale revient avec les 3 points et peut remercier Ibrahima Faye, auteur du seul but de la rencontre à la 42ème minute. Mais quel but ! En effet, peu avant la pause, le capitaine parisien se présente seul pour tirer un coup franc situé à 30 mètres des cages martégales, l'ancien troyen décoche alors une frappe imparable qui vient transpercer Vanni. Hormis cet exploit individuel, le reste du match est quant à lui, beaucoup moins reluisant et ne restera sans doute pas dans les annales.
Les débats tardent à s'animer. Martigues monopolise clairement le cuir mais le Paris FC, bien positionné, ne tremble pas. Peu à peu, l'équipe provençale tente d'accélérer le rythme mais rien y fait. Ce sont même les parisiens, par l'intermédiaire de Scotté à la 35ème minute, qui se créent la première véritable occasion de la partie.
Les contacts deviennent plus âpres entre les deux formations mais dans l'animation offensive cela reste toujours le calme plat. Comme souvent, les phases arrêtées permettent à ce genre de rencontre fermée de se décanter. Suite à une faute de Posteraro, à 30 mètres plein axe, Faye prend ses responsabilités et envoie un missile du gauche. Vanni a du mal à lire la trajectoire et ne peut que constater les dégâts (0-1, 42e).
Piqués au vif, les Sang et Or reviennent avec des meilleures intentions après la pause. Ils campent dans le camp parisien. Ech-Chergui trouve Descamps au second poteau. Sa remise de la tête ne trouve pas preneur (50e). Le Paris FC continue son travail de sape, préférant évoluer en contre. Scotté file au but mais bute sur le gardien (52e). Dans le jeu, le FCM n'est pas assez entreprenant, trop timoré, et cela fait le jeu des Parisiens qui ont décidé de fermer le verrou. Les changements offensifs décidés par le coach de Martigues n'y changeront rien.
L'équipe parisienne est même très proche de doubler la mise. Gendrey, esseulé entre le point de penalty et les six-mètres, trouve le poteau droit de Vanni (75e). Les Martégaux jettent alors leurs dernière forces dans la bataille mais en vain.
Le Paris FC remporte sa deuxième victoire de la saison à l'extérieur. Avec 38 points au compteur, le groupe d'Alain Mboma a presque assuré son maintien en National la saison prochaine.
Source: parisfootballclub.com
USCL - GFCOA : Les réactions
Les réactions après la victoire 2-1 de Créteil contre Ajaccio
La réaction de Jean-Luc Vasseur :
C’est un très bon résultat. On sort de deux matches un peu compliqués, mais les joueurs avaient envie de montrer de quoi ils sont capables face à un prétendant. Je redoutais le pouvoir offensif de cette équipe mais nous avons haussé notre niveau de jeu. Pour une équipe qui voulait s’étalonner, aujourd’hui nous voyons que ponctuellement on peut s’imposer. Mais il faut trouver une stabilité. En tout cas, je tiens à féliciter les joueurs pour la grosse débauche d’énergie et pour leur envie.
Nous ne sommes plus très loin du maintien et en restant lucide on pourra peut-être revoir nos objectifs. Pour le moment on avance, on s’accroche au peloton de tête, mais on n’est qu’au mois de mars. Il reste beaucoup de matches. L’important est d’avoir trouvé une bonne alchimie au sein de l’équipe pour maintenir le cap actuel. Notre force est de savoir d’où on vient : on n’oublie qu’on touché la zone de relégation.
C’est un très bon résultat. On sort de deux matches un peu compliqués, mais les joueurs avaient envie de montrer de quoi ils sont capables face à un prétendant. Je redoutais le pouvoir offensif de cette équipe mais nous avons haussé notre niveau de jeu. Pour une équipe qui voulait s’étalonner, aujourd’hui nous voyons que ponctuellement on peut s’imposer. Mais il faut trouver une stabilité. En tout cas, je tiens à féliciter les joueurs pour la grosse débauche d’énergie et pour leur envie.
Nous ne sommes plus très loin du maintien et en restant lucide on pourra peut-être revoir nos objectifs. Pour le moment on avance, on s’accroche au peloton de tête, mais on n’est qu’au mois de mars. Il reste beaucoup de matches. L’important est d’avoir trouvé une bonne alchimie au sein de l’équipe pour maintenir le cap actuel. Notre force est de savoir d’où on vient : on n’oublie qu’on touché la zone de relégation.
La réaction de Dominique Veilex :
C’est notre plus mauvais match depuis la reprise… On n’a pas à rougir de cette défaite, car Créteil mérite sa victoire mais nous avons complètement raté notre première mi-temps et même si on a été plus rassurant en deuxième on a manqué l’occasion d’égaliser. Derrière, sur un contre très bien mené, Créteil a marqué. Nous avons eu une belle réaction, mais ce n’est pas suffisant.
C’est notre plus mauvais match depuis la reprise… On n’a pas à rougir de cette défaite, car Créteil mérite sa victoire mais nous avons complètement raté notre première mi-temps et même si on a été plus rassurant en deuxième on a manqué l’occasion d’égaliser. Derrière, sur un contre très bien mené, Créteil a marqué. Nous avons eu une belle réaction, mais ce n’est pas suffisant.
Source: uscl.fr
vendredi 9 mars 2012
Victoire du PFC et de Créteil
Super soirée avec les victoires du Paris FC et de Créteil!!
Créteil 2 - 1 Ajaccio
Martigues 0 - 1 Paris FC
Les deux équipes franciliennes continuent leur bonne série. Certes elles ne gagnent pas de place au classement, mais elles se rapprochent de la tête en attendant les autres matchs de demain.
Créteil 2 - 1 Ajaccio
Martigues 0 - 1 Paris FC
Les deux équipes franciliennes continuent leur bonne série. Certes elles ne gagnent pas de place au classement, mais elles se rapprochent de la tête en attendant les autres matchs de demain.
National: les matchs de la 27ème journée en direct!
Aujourd'hui à 20h, 2 matchs très importants! L'USCL qui reçoit Ajaccio avec comme objectif de titiller le haut de tableau et le Paris FC qui se déplace à Martigues pour enfoncer un peu plus son adversaire dans les pénombres de la zonde de relégation...
A suivre en direct grâce à foot-national (on les aime!)
Allez les franciliens!!
A suivre en direct grâce à foot-national (on les aime!)
Allez les franciliens!!
lundi 5 mars 2012
Victoire du PSG 4-1 contre Ajaccio
Dimanche, le PSG s'est imposé face à Ajaccio et a repris la première place
Et oui!! 4 buts des galacticos (Pastore, Menez, Hoarau, Nene). 1 but encaissé comme d'hab sur coup de pied arrêté (y'avait pas même pas faute...).
C'est la bonne opération de la journée puisque Montpellier et Lille avaient fait match nul pendant que les olympiques s'étaient inclinés. Paris compte maintenant 8 points d'avances sur Lille, le 3ème.
La réaction du coach d’Ajaccio, Pantaloni: "Pantaloni en corse, ça veut dire 'pantalon' ok? Rien à voir avec la France! Nous les maisons de vacances des parisiens, on les brule!! Capicchoni?"
L'image du match
C'est l'arbitre qui aide le PSG a marqué un but. Ce PSG plait décidément à tout le monde.
Les joueurs du match
Paris est à nouveau premier et cela jusqu'à la fin de la saison!
Et oui!! 4 buts des galacticos (Pastore, Menez, Hoarau, Nene). 1 but encaissé comme d'hab sur coup de pied arrêté (y'avait pas même pas faute...).
C'est la bonne opération de la journée puisque Montpellier et Lille avaient fait match nul pendant que les olympiques s'étaient inclinés. Paris compte maintenant 8 points d'avances sur Lille, le 3ème.
La réaction du coach d’Ajaccio, Pantaloni: "Pantaloni en corse, ça veut dire 'pantalon' ok? Rien à voir avec la France! Nous les maisons de vacances des parisiens, on les brule!! Capicchoni?"
L'image du match
C'est l'arbitre qui aide le PSG a marqué un but. Ce PSG plait décidément à tout le monde.
"Tiiireeez à droite monsieur Pastoorre!!! A droiiiiite!!!!" |
Les joueurs du match
- Pastore pour son but et sa passe presque décisive à Menez. Pas encore aussi irrésistible qu'avant, Javier revient à un très très bon niveau.
- Nene pour son but, ses 2 poteaux et sa passe décisive à Hoarau.
- Hoarau qui marque dorénavant à chaque match et qui montre une efficacité presque Trezeguesque.
- Matuidi qui a été énooorme à la récupération
- Mota qui est la mascotte de cette équipe. Ses caresses à l'arbitre, sa vision du jeu et son petit "vice" fait de lui mon coup de cœur.
Paris est à nouveau premier et cela jusqu'à la fin de la saison!
dimanche 4 mars 2012
National: Week-end mitigé pour les franciliens
On revient caaaaaalmement sur les résultats de ce week-end
La bonne opération
C'est pour le Red Star, qui, même s'il n'est pas sorti d'affaire, continue sa folle remontée. Le club audonien est classé 11ème. Il est cependant l'un des seuls club du championnat à avoir disputé ses 26 matchs. Il doit donc continuer à enchainer les bons résultats pour se maintenir.
Pour cela, le Red Star pourra compter sur son buteur Malfleury, classé 3ème au "pichichi" du National avec 13 buts en 26 matchs. Il n'est qu'à deux longueurs du premier, le nîmois S. Koné.
L'an dernier le premier non relégué du National s'était sauvé avec 43 points. Le Red Star en a 32 à la 26ème journée. Très très bien parti les audoniens!
Le "Oh nooon putain fait chier"
C'est pour l'USCL! Les lusitanos menaient jusqu'aux arrêts de jeu. Et là... "oh noooon putain fait chier". Égalisation de l'adversaire du soir, pourtant bien mal au classement. Les cristoliens sont passé à côté d'aller titiller le podium. Rien n'est impossible cependant pour la suite du championnat.
La mauvaise opération
C'est pour le PFC qui s'est incliné sur sa pelouse sur un but contre son camp. Les parisiens restent dans le ventre mou.
Le classement
Comme d'hab', complètement illisible. Mardi se joueront des matchs en retard. Peut-être qu'on y verra plus clair à la 30ème journée.
Voir le classement du National
La bonne opération
C'est pour le Red Star, qui, même s'il n'est pas sorti d'affaire, continue sa folle remontée. Le club audonien est classé 11ème. Il est cependant l'un des seuls club du championnat à avoir disputé ses 26 matchs. Il doit donc continuer à enchainer les bons résultats pour se maintenir.
Pour cela, le Red Star pourra compter sur son buteur Malfleury, classé 3ème au "pichichi" du National avec 13 buts en 26 matchs. Il n'est qu'à deux longueurs du premier, le nîmois S. Koné.
L'an dernier le premier non relégué du National s'était sauvé avec 43 points. Le Red Star en a 32 à la 26ème journée. Très très bien parti les audoniens!
Le "Oh nooon putain fait chier"
C'est pour l'USCL! Les lusitanos menaient jusqu'aux arrêts de jeu. Et là... "oh noooon putain fait chier". Égalisation de l'adversaire du soir, pourtant bien mal au classement. Les cristoliens sont passé à côté d'aller titiller le podium. Rien n'est impossible cependant pour la suite du championnat.
La mauvaise opération
C'est pour le PFC qui s'est incliné sur sa pelouse sur un but contre son camp. Les parisiens restent dans le ventre mou.
Le classement
Comme d'hab', complètement illisible. Mardi se joueront des matchs en retard. Peut-être qu'on y verra plus clair à la 30ème journée.
Voir le classement du National
Créteil pourra s'en mordre les doigts!
Beauvais 1 - 1 Créteil
Auteur du premier but au stade Brisson, Bagaliy Dabo pensait offrir une quatrième victoire de rang à l’USCL, mais la formation de Jean-Luc Vasseur a été tenue en échec dans les ultimes instants de la partie par Beauvais. Les Béliers devront donc se contenter de ce cinquième match sans défaite qui leur permet toutefois de rester à six longueurs du podium.
Buts : Beauvais : Créhin (90e) ; USCL : Dabo (69e).
Source: uscl.fr
Quelle dommage... l'USCL avait là une vrai occasion de se rapprocher du podium. Tout est encore possible pour les lusitanos classé 7ème après 26 journées
Auteur du premier but au stade Brisson, Bagaliy Dabo pensait offrir une quatrième victoire de rang à l’USCL, mais la formation de Jean-Luc Vasseur a été tenue en échec dans les ultimes instants de la partie par Beauvais. Les Béliers devront donc se contenter de ce cinquième match sans défaite qui leur permet toutefois de rester à six longueurs du podium.
Buts : Beauvais : Créhin (90e) ; USCL : Dabo (69e).
Source: uscl.fr
Quelle dommage... l'USCL avait là une vrai occasion de se rapprocher du podium. Tout est encore possible pour les lusitanos classé 7ème après 26 journées
Le PFC manque son affiche
Paris FC 0 - 1 Nîmes
C'était une bonne opportunité pour revenir dans la course pour la montée. Le PFC pouvait battre un adversaire mieux classé que lui et pourquoi pas se mettre à rêver. Manque de peau, malgré un bon match, les parisiens auront certes réussit à marquer... mais contre leur camp (Diawara). Les nîmois, eux, peuvent rêver. Ils s'accaparent la 2ème place du classement. Le PFC se classe 8ème, mais avec 26 matchs joués.
C'était une bonne opportunité pour revenir dans la course pour la montée. Le PFC pouvait battre un adversaire mieux classé que lui et pourquoi pas se mettre à rêver. Manque de peau, malgré un bon match, les parisiens auront certes réussit à marquer... mais contre leur camp (Diawara). Les nîmois, eux, peuvent rêver. Ils s'accaparent la 2ème place du classement. Le PFC se classe 8ème, mais avec 26 matchs joués.
Le Red Star continue sa folle remontée
Et une victoire de plus!
Epinal 0 - 2 Red Star
L'Etoile Rouge aime le grand Est et les équipes bien classées. Déjà victorieux à Colmar et Forbach, villes voisines d'Epinal, déjà tombeur de Nîmes et Rouen, deuxième du classement à l'époque, les Audoniens ont trouvé à la Colombière une victime idéale : la préfecture des Vosges était en effet dauphine de Niort au coup d'envoi. Pourtant en infériorité numérique, les Vert et Blanc ont montré un coeur énorme pour rapporter trois points précieux à Saint-Ouen. Compte-rendu
Le réalisme à l'audonienne
Au coup d'envoi c'est un onze inédit qui se présente sur la pelouse de la Colombière. Guyon et Cé Ougna sont titularisés au milieu tandis que Sabin occupe l'aile gauche. Un poste inhabituel pour le grand attaquant, exemplaire de combativité ce soir. Le premier quart d'heure valide les choix de Vincent Doukantie puisque Malfleury est trouvé plusieurs fois mais il ne convertit pas les coups francs (4e, 7e) qu'il obtient ou les bonnes passes de ses coéquipiers (9e). Côté spinalien, le jeune Bussmann fait forte impression. Le latéral, champion d'Europe U19 (2010), est de toutes les offensives. Ses montées sont tranchantes et manquent plusieurs fois d'être décisives (23e, 29e, 33e). Le Red Star fait le dos rond mais préserve l'essentiel : ses cages inviolées et le point du nul. Malfleury ouvre même de nouveaux horizons lorsqu'il élimine son vis-à-vis, s'arrache et glisse, dans son style caractéristique, le ballon dans les filets d'un plat du pied droit (0-1, 41e). Un but au bon moment, preuve d'un réalisme hallucinant (une frappe cadrée, un but) et d'une abnégation à toute épreuve. La réaction spinalienne par l'inévitable Bussmann (44e) est avortée par Bouet.
L'art de subir
Auteur de son troisième match en une semaine, Epinal injecte du sang frais. Jahier entre en jeu et rend encore un peu plus sensible la domination locale. C'est le début du show Bouet. Face à Asbabou (53e) ou Bussmann, décidément insaisissable (79e), le portier audonien sort deux parades extraordinaires et préserve l'avance des siens. Quand ce n'est pas le dernier rempart du Red, ce sont Cerielo (59e) et toute la ligne défensive de l'Etoile Rouge, héroïque de courage, qui empêchent les Spinaliens d'égaliser. Conserver ce court avantage est une épreuve de chaque instant à onze contre onze, que dire de l'expérience en infériorité numérique ? Car c'est bien à dix que se retrouve l'Etoile Rouge lorsque Malfleury hérite d'un second carton jaune pour un contact un peu trop appuyé (71e). Une expulsion qui galvanise encore un peu plus les Vosgiens poussés par tout un stade. Mendes (81e), d'un retourné très pur juste à côté, fait encore vibrer la mythique enceinte spinalienne mais le Red Star ne rompt pas. Beziouen, Lopez-Peralta et Ouarguini, entrés en cours de jeu, tentent de garder le ballon mais subissent les assauts désespérés d'une équipe qui a fait de la montée son objectif. Les six minutes d'arrêt de jeu sont éternelles et le chronomètre semble être tombé en panne. Beziouen, lui, n'a pas oublié son moteur aux vestiaires. Sur un ultime contre, il n'hésite pas à provoquer la défense, laissant sur place Paillot d'un crochet extérieur subtil, avant d'ajuster un centre retrait parfait. Ouarguini accepte l'offrande, inscrit son premier but sous ses nouvelles couleurs (0-2, 90+5e) et confirme le succès audonien qui replace son club en milieu de tableau (11e). Prochain rendez-vous à Bauer contre Niort. Une autre équipe bien classée.
Source: http://www.redstarfc93.fr
Incroyable donc! Malfleury qui continue à porter l'attaque audonienne et une équipe qui s'arrache pour gagner à 10 contre 11 à l'extérieur et contre le 2ème du classement!
Epinal 0 - 2 Red Star
L'Etoile Rouge aime le grand Est et les équipes bien classées. Déjà victorieux à Colmar et Forbach, villes voisines d'Epinal, déjà tombeur de Nîmes et Rouen, deuxième du classement à l'époque, les Audoniens ont trouvé à la Colombière une victime idéale : la préfecture des Vosges était en effet dauphine de Niort au coup d'envoi. Pourtant en infériorité numérique, les Vert et Blanc ont montré un coeur énorme pour rapporter trois points précieux à Saint-Ouen. Compte-rendu
Le réalisme à l'audonienne
Au coup d'envoi c'est un onze inédit qui se présente sur la pelouse de la Colombière. Guyon et Cé Ougna sont titularisés au milieu tandis que Sabin occupe l'aile gauche. Un poste inhabituel pour le grand attaquant, exemplaire de combativité ce soir. Le premier quart d'heure valide les choix de Vincent Doukantie puisque Malfleury est trouvé plusieurs fois mais il ne convertit pas les coups francs (4e, 7e) qu'il obtient ou les bonnes passes de ses coéquipiers (9e). Côté spinalien, le jeune Bussmann fait forte impression. Le latéral, champion d'Europe U19 (2010), est de toutes les offensives. Ses montées sont tranchantes et manquent plusieurs fois d'être décisives (23e, 29e, 33e). Le Red Star fait le dos rond mais préserve l'essentiel : ses cages inviolées et le point du nul. Malfleury ouvre même de nouveaux horizons lorsqu'il élimine son vis-à-vis, s'arrache et glisse, dans son style caractéristique, le ballon dans les filets d'un plat du pied droit (0-1, 41e). Un but au bon moment, preuve d'un réalisme hallucinant (une frappe cadrée, un but) et d'une abnégation à toute épreuve. La réaction spinalienne par l'inévitable Bussmann (44e) est avortée par Bouet.
L'art de subir
Auteur de son troisième match en une semaine, Epinal injecte du sang frais. Jahier entre en jeu et rend encore un peu plus sensible la domination locale. C'est le début du show Bouet. Face à Asbabou (53e) ou Bussmann, décidément insaisissable (79e), le portier audonien sort deux parades extraordinaires et préserve l'avance des siens. Quand ce n'est pas le dernier rempart du Red, ce sont Cerielo (59e) et toute la ligne défensive de l'Etoile Rouge, héroïque de courage, qui empêchent les Spinaliens d'égaliser. Conserver ce court avantage est une épreuve de chaque instant à onze contre onze, que dire de l'expérience en infériorité numérique ? Car c'est bien à dix que se retrouve l'Etoile Rouge lorsque Malfleury hérite d'un second carton jaune pour un contact un peu trop appuyé (71e). Une expulsion qui galvanise encore un peu plus les Vosgiens poussés par tout un stade. Mendes (81e), d'un retourné très pur juste à côté, fait encore vibrer la mythique enceinte spinalienne mais le Red Star ne rompt pas. Beziouen, Lopez-Peralta et Ouarguini, entrés en cours de jeu, tentent de garder le ballon mais subissent les assauts désespérés d'une équipe qui a fait de la montée son objectif. Les six minutes d'arrêt de jeu sont éternelles et le chronomètre semble être tombé en panne. Beziouen, lui, n'a pas oublié son moteur aux vestiaires. Sur un ultime contre, il n'hésite pas à provoquer la défense, laissant sur place Paillot d'un crochet extérieur subtil, avant d'ajuster un centre retrait parfait. Ouarguini accepte l'offrande, inscrit son premier but sous ses nouvelles couleurs (0-2, 90+5e) et confirme le succès audonien qui replace son club en milieu de tableau (11e). Prochain rendez-vous à Bauer contre Niort. Une autre équipe bien classée.
Source: http://www.redstarfc93.fr
Incroyable donc! Malfleury qui continue à porter l'attaque audonienne et une équipe qui s'arrache pour gagner à 10 contre 11 à l'extérieur et contre le 2ème du classement!
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